Extrait

Troisième partie, chapitre 1er, "Des passants appliqués à passer... ", page 129

« […] Il est dans l’existence des éclipses où il nous semble avoir tout perdu, des temps de silence où l’on se trouve plongé dans un brouillard, une nuit en deuil d’étoiles. Nul reflet n’éclaire la route […]. »