Ferdinand, écrivain vivant à Paris est de passage à New York. Il y a des rendez-vous professionnels et aussi les retrouvailles avec Jenny, un ancien amour qui lui offre parfois son appartement à Manhattan. Puis, au café Figaro, il rencontre Fran et avec elle pendant quelques jours arpente Manhattan pris par une frénésie, de vivre, d’observer et d’aimer. Ils se découvrent, découvrent cette ville, marchent et parlent. Mais les histoires d’amour ne sont pas simples et une rencontre ne se termine pas toujours comme on le pense.
L’écriture moderne de ce livre a été saluée par la critique.
Marguerite Duras en a dit : « Une nuit de lecture. C’est la nuit peut-être que l’on lit tout à fait et que la force d’un livre se fait plus visible. Quand les jours passent et qu’on s’éloigne de sa lecture. Manhattan Blues parait de plus en plus beau. »
Dany Laferrière, en dit « : Jean-Claude Charles fixe sur nos rétines éblouies un Manhattan en noir et blanc sur fond de blues. »